
Le journal rapporte aussi qu’il était l’agent comptable de l’ambassade au moment des faits présumés. Il avait dilapidé 640 millions sur fond de dépenses fictives. L’Etat a ainsi porté plainte. G. K., conscient que les contrôleurs allaient découvrir son forfait, avait disparu sans prévenir.
Pour se tirer d’affaires, se faisant oublier 2 ans durant, il a voulu rentrer au bercail. Seulement son signalement avait été lancé un peu partout. Il sera épinglé par la Direction de la police de l’air et des frontières qui l’ont remis à la DIC.
G. K. est en train d’être cuisiné par lesdits enquêteurs. Au bout de celle-ci, il ne serait pas exclu qu’il balance ses complices. A dire qu’une affaire de cette envergure ne peut être montée, seul.