Ce faisant, le président Sall a invité la Communauté internationale à mettre fin à la tragédie des Rohingyas en Birmanie.
«Nous ne pouvons accepter que des musulmans soient tenus pour responsables d’une violence dont ils sont eux-mêmes victimes. Nous avons la responsabilité de travailler ensemble à la recherche de solutions concertées à ce fléau», a dit le président Sall.
Selon lui, rien, encore moins la religion, ne saurait justifier le fanatisme violent.
«Il est temps de ne plus considérer l’Afrique comme un continent du futur, qui se contente de promesses aléatoires», a-t-il indiqué.
LA REDACTION DE DAKARFLASH
«Nous ne pouvons accepter que des musulmans soient tenus pour responsables d’une violence dont ils sont eux-mêmes victimes. Nous avons la responsabilité de travailler ensemble à la recherche de solutions concertées à ce fléau», a dit le président Sall.
Selon lui, rien, encore moins la religion, ne saurait justifier le fanatisme violent.
«Il est temps de ne plus considérer l’Afrique comme un continent du futur, qui se contente de promesses aléatoires», a-t-il indiqué.
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