
A lire entre les lignes, « malgré le décret présidentiel, Millicom n’est pas contraint de vendre à Wari. », selon Abdou Latif Coulibaly, ministre secrétaire général du gouvernement.
« L’État s’est donné un délai pour procéder à des vérifications avant de signer le décret d’approbation. Celui-ci donne un cachet légal à la vente. Mais l’opération de cession en elle-même reste une affaire entre les différentes parties », explique-t-il à jeuneafrique.com.
« L’État s’est donné un délai pour procéder à des vérifications avant de signer le décret d’approbation. Celui-ci donne un cachet légal à la vente. Mais l’opération de cession en elle-même reste une affaire entre les différentes parties », explique-t-il à jeuneafrique.com.