
Le président Emmanuel Macron, qui s'est de nouveau entretenu jeudi matin avec la Première ministre britannique Theresa May, estime comme cette dernière qu'il "n'y a pas d'autre explication plausible", est-il ajouté.
"Depuis le début de la semaine, le Royaume-Uni a tenu la France étroitement informée des indices recueillis par les enquêteurs britanniques et des éléments démontrant la responsabilité de la Russie dans l'attaque. La France partage le constat du Royaume-Uni qu'il n'y a pas d'autre explication plausible et exprime à nouveau sa solidarité à l'égard de son alliée", a précisé la présidence.
M. Macron et Mme May "sont convenus de l'importance de l'unité européenne et transatlantique dans la réponse à cet événement" et "resteront en contact étroit au cours des prochains jours".
"Provocation grossière"
La Première ministre britannique a annoncé mercredi une série de sanctions contre la Russie, dont l'expulsion de 23 diplomates et le gel des contacts bilatéraux, jugeant Moscou "coupable" de l'empoisonnement sur son sol de l'ex-espion russe Sergueï Skripal, 66 ans, et de sa fille Ioulia, toujours dans un état "critique".
La diplomatie russe a aussitôt qualifié ces sanctions de "provocation grossière sans précédent".
"Depuis le début de la semaine, le Royaume-Uni a tenu la France étroitement informée des indices recueillis par les enquêteurs britanniques et des éléments démontrant la responsabilité de la Russie dans l'attaque. La France partage le constat du Royaume-Uni qu'il n'y a pas d'autre explication plausible et exprime à nouveau sa solidarité à l'égard de son alliée", a précisé la présidence.
M. Macron et Mme May "sont convenus de l'importance de l'unité européenne et transatlantique dans la réponse à cet événement" et "resteront en contact étroit au cours des prochains jours".
"Provocation grossière"
La Première ministre britannique a annoncé mercredi une série de sanctions contre la Russie, dont l'expulsion de 23 diplomates et le gel des contacts bilatéraux, jugeant Moscou "coupable" de l'empoisonnement sur son sol de l'ex-espion russe Sergueï Skripal, 66 ans, et de sa fille Ioulia, toujours dans un état "critique".
La diplomatie russe a aussitôt qualifié ces sanctions de "provocation grossière sans précédent".