
L'ONU "n'a pas le droit d'interférer" dans les affaires birmanes, a déclaré le chef de l'armée birmane Min Aung Hlaing, réagissant pour la première fois aux allégations de "génocide" formulées par les Nations Unies dans la crise des Rohingyas. "Aucun pays, aucune organisation, et aucun groupe n'a le droit d'interférer" dans la politique birmane, a affirmé le général Min Aung Hlaing dans le journal officiel de l'armée publié lundi.
L'ONU demande que six hauts responsables de l'armée, dont Min Aung Hlaing, soient poursuivis pour "génocide" envers la minorité musulmane.